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8 raisons de lire Evana en musique et en couleurs

Lorsque j’ai écrit Evana, pour me plonger un peu plus dans ma bulle lors des phases où j’utilisais le processus de l’écriture automatique, j’ai écouté pas mal de musiques. En faire la liste serait trop longue, mais je peux vous citer : Nightwish, Evanescence, Depeche Mode, Portishead, Loreena Mc Kennitt, Within Temptation, Émilie Simon…

Assez varié, n’est-ce pas ? Après, ce n’est pas tellement le sujet de mon article.

Revenons à la couverture, dont l’illustration est de la patte d’Obsydienn. Les couleurs choisies ne sont absolument pas anodines. Elles sont un premier écho de l’importance des couleurs dans ce roman : elles font partie du fil rouge. Il en est de même pour la typographie extérieure, dont The Red Lady s’est occupée. En tant qu’auteurice, j’ai pu participer à mon niveau, en soumettant mes envies à propos de cette couverture notamment.

Vous n’êtes pas sans savoir qu’Evana a droit à son propre album, composé par Joxan Desjamin. Vous avez pu en entendre parler sur les RS par ma ME, le Labyrinthe de Théia. Comment se compose l’album musical ? Voici leur article dédié à ce sujet.

Permettez-moi de vous donner huit bonnes raisons de lire Evana en musique, via cet album, et en couleurs, révélées subtilement par la couverture.

1. Il s’agit d’un album et d’une couverture 100 % originaux, garantis sans IA.

C’est malheureusement une mention qui va être de plus en plus courante, vu la tournure des choses à ce sujet… Ce que je veux dire par là, c’est que le Labyrinthe de Théia et les personnes qui ont travaillé sur la couverture et l’album se sont engagæs à ne pas avoir recours aux IA, car elles volent les ressources plus qu’autre chose, comme je l’explique dans Les IA : la création en détresse. La couverture, l’album, et même la maquette sont 100 % raccords avec l’univers d’Evana, faits sur mesure.

2. Certaines musiques ont du texte… que vous pouvez retrouver dans le roman !

J’en profite pour saluer le savoir-faire de Paul-Emmanuel Cubizolles, qui s’est occupé de la maquette. Les poèmes et chansons que vous pouvez retrouver dans Evana ont donc leur propre bande-son… N’est-ce pas un bel argument pour l’écouter ? Quant à savoir si un jour je chanterai ces morceaux… Ne mettons pas la charrue avant les bœufs, quand même. Chanter ses propres chansons, c’est quelque chose qui relève encore du blocage pour l’instant, pour des raisons personnelles, mais un jour, cela se fera.

3. Chaque musique a sa propre palette de couleurs.

Lorsque j’ai rempli les fiches d’intention musicales pour Joxan, pour chaque titre, j’ai eu en tête des nuances particulières… Il faut savoir que je suis synesthésique. Je serais curieuse de savoir quelles couleurs vous associez aux musiques de l’album, n’hésitez pas.

4. Les instruments choisis sont spécifiques à l’univers d’Evana et à ce qui revient le plus lors de mes propres écoutes.

Il y a en majorité du piano et du violon, mais aussi des instruments un peu plus spécifiques… Sauriez-vous me dire lesquels ? Si vous avez acheté l’album, je suis curieuse de savoir quels instruments vous avez repéré, et quel lien vous faites avec l’univers d’Evana !

5. Prêtez attention aux fils sur la couverture… mais pas que !

Chaque fil a une couleur, liée à Evana elle-même. Et comme je l’ai dit plus haut, les couleurs choisies pour la couverture, la typographie, même secondaires, répondent à l’univers autour d’Evana. Par exemple, la dualité du bleu et du jaune orangé qui composent le fond de la couverture représentent la dualité qui tiraille Evana tout au long du roman. Dualité physique, dualité mentale… et cela va bien au-delà du simple ténèbres contre lumières. Bon, je ne vais pas vous révéler tous les secrets autour des couleurs, sinon ce serait dommage. Et puis, si vous avez votre propre interprétation, je désire la connaître.

6. Dans le morceau Violvet, ce mot est murmuré… en morse.

Cette information, vous l’avez vu passer si vous avez suivi mon petit jeu dans mes stories Instagram ! Joxan a eu cette idée lors de la composition de ce morceau assez sombre. Sachant que le morse est souvent utilisé pour générer des appels au secours, de transmettre des informations rapidement sur de longues distances… Un autre langage.

7. Les titres des musiques ont une relation directe avec le fil chronologique du roman.

Cela rejoint le point numéro 2, d’ailleurs ! D’ailleurs, funfact : la linéarité d’Evana se situe là. Le récit en lui-même n’est pas linéaire, lui, en revanche.

8. La synesthésie va bien au-delà des sons et des couleurs.

Evana est associé à certaines odeurs, textures et saveurs. On le retrouve du côté des bougies conçues par Le Labyrinthe de Théia (qui représentent également la dualité)… pour ne donner que cet exemple.

J’espère que mes arguments vous ont parlé !

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