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Les 8 arguments phares pour lesquels il ne faut pas lire mon roman Un pétale par sourire (version remasterisée)

Bon, j’avais publié cet article lors de la première vie de mon roman Un pétale par sourire en maison d’édition. Je l’ai un peu retouché depuis sa sortie chez SolÉditions, car je trouve le concept amusant. C’est parti !

– Ça cause chômage, précarité

Bouuuuuh ! L’héroïne, elle est au chomdu, elle ne se sort pas les doigts et retourne vivre chez sa maman à vingt-huit ans. La honte, m’enfin ! Non, vous ne voudrez pas lire ça, vraiment. En plus, vous pourriez vous sentir déprimæs – et confondre déprime et dépression, au passage.

– Ça parle d’amûûûûûr

L’amour tout doux, fleur bleue. Vous pourriez trouver ça guimauve, secouer la tête de dépit, votre petit cœur de célibataire sera envieux du sort d’Héloïse et de son yôkai chéri d’amour. Ou pas. Et si vous êtes en couple, vous vous pincerez le nez en mode « Non, mais elle est sérieuse, la meuf ? Une fois par an seulement ? ». Une héroïne ace, en même temps…

– Ça cause dépression (et ce n’est pas grave cool, la dépression)

Et ça va avec le fait que l’héroïne ne se bouge pas, eh ouais ! Elle se laisse couler, après tout ce n’est qu’une histoire de volonté de s’en sortir, n’est-ce pas ? Ce genre d’histoire, ce n’est pas du tout attirant. Puis se sentir mal à cause de l’héroïne, non merci… surtout en ce moment.

– Y a un type catalogué comme ayant une personnalité narcissique et plus encore

Ou plus communément appelé « pervers narcissique ». Et la r’voilà qui refourgue ça alors que c’est sorti à toutes les sauces, pour tout et n’importe quoi ! Mais ouais, le personnage concerné est juste un homme qui essaie d’aider la mère de l’héroïne et celle-ci, parce que son sort lui importe beaucoup. Il s’inquiète pour elle, voilà tout. Sauf que lire ça, bof… En plus, c’est du point de vue de l’héroïne, donc elle a tort.

– Y a des fleufleurs

Oh noooooon, pas les fleeeeeeurs ! Vous y êtes allergiques, en plus le roman tourne autour de ça, des fleurs de cerisier ! Puis l’autrice, elle pouvait pas choisir des fleurs de pommier ? Ou des roses, tiens, elles incarnent la grâce et la beauté, et l’amûûûûûûr. Ou des fleurs d’un cerisier lambda à la limite, hein ? Noooon ! Des fleurs de sakura ! Elle a trop regardé Naruto (en vrai, je n’ai jamais accroché à l’anime…).

– Y a le Japon

Ça aussi ça revient partout. Le Japon est vraiment partout, dans nos villes, dans nos camp… Euhm, pardon. Bref, vous avez compris. Puis en plus on reste en surface dans le roman, ça va parler de « kawaïries » et autres niaiseries de ce genre. Puis en plus y a des créatures super sexy dedans, que l’autrice appelle yôkais et qu’elle catalogue de « démons » alors que c’est pas ça du tout (non).

– Y a pas de cucul

QUOI ? Pas de scènes de luc ? Mais c’est la base ! Quel intérêt une romance sans sauce piquante ? Ou au moins un peu de wasabi ? Et en plus, le « sexfriand » (selon la grand-mère), c’est pas le truc de l’héroïne… Bah oui, elle est ace. Hmmmm, ça ne donne pas envie tout ça… Bon en même temps, c’est un peu compliqué quand la majorité de l’intrigue se passe dans les rêves de l’héroïne et de son yôkai chéri d’amour. Enfin, dans leur rêve commun… Quoique, l’autrice n’a aucune imagination (ou est frustrée ?), parce que dans le monde des rêves, ben c’est le monde des fantasmes, normalement, où tout est permis. Mais bon, pas de coquineries. Snif.

(Enfin, y a queeeeeelques allusions, quand même…)

– Y a pas de torse nu/bad boy/héroïne timorée sans expérience amoureuse

Ben oui, l’héroïne c’est une vieille fille, elle n’a vraiment pas eu de chance non plus dans ses relations amoureuses. Bon, comme beaucoup d’autres héroïnes me direz-vous, mais là, c’est vraiment poussé à l’extrême. Elle ne salive même pas sur les torses nus, aucune référence n’y est faite. Son yôkai chéri d’amour a tout du beau gosse ténébreux, mais il préfère se la jouer noble et s’habiller d’un kimono blanc (alors qu’il a dégommé ses semblables pour appliquer sa propre justice, hein). Que voulez-vous que je vous dise…

– Bonus : beurk c’est trop lent, y a pas d’action.

Eh ben ouais, c’est comme pour mon roman Evana. Vraiment, l’autrice écrit des trucs chiants à en mourir, il ne se passe jamais rien, y a même pas de fil rouge. Et en plus, c’est une réécriture de la Belle et la Bête non assumée. L’autrice emploie trop de mots compliqués, en plus, et s’est perdue dans des métaphores imbuvables.

– Bonus n°2 : ce n’est pas une dark romance

Alors je sais, j’aurais pu créer une relation torriiiiiide entre mon héroïne et le compagnon de sa mère. Honte sur moi ! Surtout qu’il a à cœur qu’elle réussisse, qu’elle soit une vraie femme, qu’elle… Bon, je crois que vous avez compris mon sarcasme, mais je le précise quand même. Plus sérieusement, si la dark romance avait gardé son sens premier, Un pétale par sourire aurait pu en être une, et j’en parle dans mon article lié. Voilà.

Bon, j’espère pour vous que vous avez perçu le second degré, et j’espère au moins vous avoir tiré un sourire !

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