Aaaaah, Evana. Oui, mon roman va sortir chez Le Labyrinthe de Théia bientôt. Si vous avez bien suivi, vous connaissez la date. Si si, rendez-vous sur les RS de la ME ou les miens pour le savoir… D’ailleurs, j’ai créé un petit jeu d’anecdotes, qui se déroule sur Twitter et dans mes stories Instagram en ce moment.
Parlons peu, parlons bien. Pour commencer : vous avez pu voir cette couverture magnifique. De plus, vous avez fait connaissance avec les artistes Obsydienn et The Red Lady. Vous avez même pu lire le résumé du roman. Qu’en dites-vous, d’ailleurs ?
Et moi, dans tout ce maelström ? Eh bien, je suis fébrile, heureuse, angoissée, excitée… Je suis aussi animée par tant d’autres sentiments que je n’arrive pas forcément à définir correctement ici. J’avais besoin d’écrire cet article pour parler non pas du roman directement, mais de mon état d’esprit. Oui, tout est dans le titre en même temps… J’ai du mal à trouver mes mots, c’est normal.
Evana est ma troisième sortie en maison d’édition. Pour rappel : ma première sortie était une nouvelle dans une anthologie de Lune Écarlate en juin 2019, qui a fermé en janvier 2020. Ma deuxième sortie était Un pétale par sourire à Livresque Éditions, début juillet 2020, qui a fermé en août 2022.
Les points communs de ces trois sorties sont ma joie, le sentiment d’avoir accompli quelque chose, et un peu tout ce mélange d’émotions dont j’ai parlé plus haut. Bon, c’est vrai, vous vous en doutiez un peu… Globalement, j’ai eu un bon accompagnement éditorial. Je sais, je l’ai répété à maintes reprises. Non, je ne radote pas, voyons, haha !
Mais ici, qu’est-ce qui fait que cette sortie-là a ce petit quelque chose de différent ? Tout d’abord, il y a le rythme. En fait, ce n’est pas un rush comme j’ai pu le vivre pour mes deux premières sorties. Au début, aller à mon rythme m’a déstabilisée. Finalement, ça m’a permis de déstresser… un peu. On ne se refait pas, hein.
Je me suis sentie bien plus impliquée aussi, étape par étape, en tant qu’autrice. J’ai été contente que l’on ait pris le temps de discuter au niveau des corrections, de la couverture, la maquette…
Enfin, Evana est le projet le plus OLNI et singulier que j’ai. Bon, Spiritès en prend le chemin, pour d’autres raisons… Pour en revenir à Evana, pour moi, ce n’était pas un projet publiable. Trop singulier, pas vendeur, trop compliqué, pas dans les clous… Ça m’a fait du bien que des gens croient en ce roman ; Tatyana a partagé quelques mots à ce sujet. Le Labyrinthe de Théia m’a offert cette opportunité de le peaufiner, de le sublimer pour une publication aux petits oignons. Du coup, le blocage que j’avais depuis longtemps s’est déverrouillé.
Voilà, il fallait que je le dise. En communication, je ne suis pas la plus douée. Et ça, je vous l’ai dit de nombreuses fois. Je fais de mon mieux cependant, et toujours avec sincérité.
Je n’ai pas encore parlé des musiques qui accompagneront Evana… Ahah, chaque chose en son temps. Ça va venir !
Restez à l’affût.
Un dernier petit mot avant de vous quitter. Ou plutôt, une question : oserez-vous plonger un peu plus en avant dans l’univers cryptique d’Evana ?
Je vous attends.
J’attends la sortie avec impatience !
♥♥♥♥♥