Alors, ce Plumetober ? Vu que le concept, à l’image des autres challenges créatifs qui ont lieu durant le mois d’octobre, a pas mal plu l’année dernière et que j’ai eu des participations assez variées, y compris plus tard (car je le rappelle, vous pouvez le faire à votre rythme), j’ai décidé de réitérer pour 2024.
Alors, qu’est-ce que cela donne ?
De l’enthousiasme et de jolies interprétations
Oui, on peut parler d’interprétation du défi. Je n’aime pas le mot réappropriation dans ce contexte, j’espère que vous en comprenez la raison !
J’ai pu retrouver la plume de certaines personnes avec plaisir, comme elles avaient participé l’année dernière, et j’ai pu découvrir celle de nouvelles personnes. J’ai adoré suivre vos textes, les partager, et discuter avec vous au détour d’une réflexion aussi.
Certain·e·s d’entre vous avez créé une histoire complète écrite au jour le jour ; d’autres ont plutôt écrit un texte par thème. D’autres encore se sont plus tournæs vers des pensées, des réflexions. J’aime cette diversité !
Plusieurs personnes m’ont dit qu’elles feraient le challenge plus tard, courant décembre par exemple. Je vous attends de pied ferme. Pensez juste à m’avertir par message privé quand vous l’avez posté, parce que sinon, je ne pourrai pas le voir. Même me taguer ne suffit plus, parfois, je n’ai même pas la notification. À moins que vous ne souhaitiez pas que je le lise, c’est votre droit, pas de souci.
J’ai repoussé mes limites
En ce qui me concerne, j’ai participé à mon propre challenge ! L’année dernière, j’avais commencé, sur un nouvel épisode de ma Vouivre (de mon recueil « décalage horreur »), mais je ne l’ai toujours pas continué, même si je compte bien le terminer un jour…
Là, pour le Plumetober 2024, j’ai été jusqu’au bout ! Ce qui est une première victoire en soi. Ma seconde victoire, qui n’est pas des moindres, c’est d’être parvenue à le faire… sous forme de petits réels. Je me tâte même à me créer un compte TikTok exprès pour ça. Juste pour ce format-là, court, dans cette ambiance contemplative. Parce que mon but était aussi de vous ouvrir une porte vers le contemplatif, à travers ces petites vidéos où je parle face caméra.
Je vous l’ai dit : ce n’est pas mon format préféré. Je n’ai, jusque-là, pas trouvé d’utilité à vraiment me poser, faire des réels, des montages…
Alors ne vous leurrez pas : si, de temps en temps, je sortirai des petites vidéos comme celle-là, ce sera pour vous inviter à plonger dans le contemplatif, pour peut-être vous donner ensuite de découvrir ma plume et mes romans si ce n’est pas déjà fait. Ce ne sera pas non plus très travaillé, je n’ai clairement pas le temps pour ça.
Bien sûr, je redirigerai vers des textes dans la même vibe, d’autres auteurices, de temps en temps, pour vous montrer que nous sommes tout un petit groupe à écrire dans le contemplatif, que ce soit en l’alliant avec la SFFF, l’horrifique (oui, oui), le contemporain…
Le contemplatif, c’est une certaine manière de voir le monde.
Bref, je m’égare.
Avec cette édition du Plumetober, j’ai au moins réussi à aller jusqu’au bout. Certaines personnes ont bien réagi à mes réels, j’ai reçu des compliments sur mes talents de conteuse, que je devrais exploiter plus souvent. Eh bien, ces petites vidéos sont là pour ça, pour vous le partager, et si vous souhaitez en avoir plus, il m’arrive de faire du format audio sur des poèmes et courtes nouvelles, via ma newsletter. Eh oui, c’est une exclusivité réservée à mes abonnæs.
Et ensuite ?
Est-ce que je referai une édition du Plumetober l’année prochaine ? Sans doute, vu qu’il semble bien vous plaire, et à moi aussi. Et puis, si cela nous permet de garder un esprit de partage, au moins avec moi, puisque je m’engage à lire toutes les participations et à réagir…
Si ce défi vous tente encore, mais que vous ne l’avez pas commencé, vous pouvez toujours le faire.
Merci à vous en tout cas de le faire vivre et de lui donner votre intérêt !